Mobilisons nous pour les élections municipales françaises du 15 et 22 mars 2020!

Les prochaines élections municipales se dérouleront le dimanche 15 mars 2020 pour le premier tour. Le second tour des élections aura lieu le dimanche 22 mars 2020.

Il est important que nous votions et fasse voter pour élire des maires de notre mouvement politique réformateur et progressiste ou proche de celui ci. En effet les réformes sont votées pas uniquement au parlement mais également au sénat, où la République en Marche n’est  pas majoritaire. Les maires étant des grands électeurs, ce sont eux qui désignent les sénateurs. Nous devons envoyer un maximum de réformateurs au sénat.

Nous devons nous mobiliser, pour faire reculer le front national et les mouvements d’extrême gauche. Il n’y a ni droit du sol, ni droit du sang, pas plus que de salaires pour autre chose que la prise de risques ou le travail, on devrait pouvoir devenir français simplement si on partage ces valeurs, en s’engageant!

Nous devons nous mobilisé car l’action locale à un impact direct sur la vie des citoyens et que c’est la condition nécessaire pour ancrer notre mouvement localement et dans le temps.

Nous devons nous mobiliser, pour élire des maires qui lutterons contre la désertification des campagnes, notamment en développant des cursus universitaires locaux et professionnalisant, en adéquation avec les besoins des entreprises présentes et futures, contribuant au dynamisme local.

En tant que mouvement politique libérale, nous devons nous ressourcer en étudiant la pensée d’Alexis de Tocqueville. Il insiste sur le rôle fondamental des corps intermédiaires et la décentralisation des pouvoirs et se positionne en opposition au jacobinisme centralisateur.

Suivant sa pensé, je dis qu’il est temps de que nous nous réapproprions l’instrument de notre indépendance philosophique et économique qui est l’éducation. Sans doute avons nous cru que la centralisation dans le domaine de l’éducation nous rapprocherais de l’égalité des conditions. Mais ceci  a contribuer à augmenter les attributions du gouvernement central à l’encontre des intérêts locaux.

Nous devons reconquérir la possibilité d’agir localement.

Nous avons renoncé à exercer notre liberté pour profiter de l’égalité.  Nous avons remis de plus en plus de prérogatives à l’État. À partir de là, l’État a progressivement mis les individus à l’écart des affaires publiques. Il a étendu sans cesse les règles qui encadrent la vie sociale et économique.

Paradoxalement, l’égalité des conditions, en fragilisant toutes les relations hiérarchiques de subordination (entre les maîtres et les serviteurs, les hommes et les femmes, les adultes et les enfants), a détruit les liens de dépendance, mais également de protection. Ainsi une partie de la population se sent abandonnée.

Pour cela, un marcheur se doit en premier lieu de se mobiliser et d’aller voter.

Il appartient la République en Marche ensuite d’enraciner le citoyen dans la vie politique par la décentralisation. Elle doit favorisé une société mobile, qui assure différemment l’intégration de ses membres. Elle doit créer une société où les citoyens se sentent liés les uns aux autres.